communication de ses états d'âme par le salarié sur les réseaux sociaux et faute
La Cour de cassation dans une décision du 12 septembre 2018
estime que les propos tenus par un salarié sur son compte " FACEBOOK" ne peuvent être considéré ni comme une faute ni comme une cause réelle et sérieuse de licenciement MAIS
Parce que le salarié n'avait que 14 personnes à suivre ses nouvelles, que le groupe était fermé et composé de personnes agrées, pour la Cour il s'agit dès lors d'une conversation de nature privée, la cour d'appel a pu retenir que ces propos ne caractérisaient ni une faute grave, ni une cause réelle et sérieuse de licenciement.
En présence d'un groupe plus important; 30 ou 40 personnes la Cour aurait elle statuer de la même façon ?
Pas certain, en résumé évitez de faire part de ses états d'âme sur les réseaux sociaux.
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